Je cite un collègue physicien:
"Une leçon de pédagogie par notre président.
JT de TF1, le 15. C'est à 3 minutes 10.
Ecoutez bien notre président, qui « aide des jeunes de CM1 à se servir d'un dictionnaire », et qui lit « préjudice : tout ce que l'on fait à quelqu'un », là où il est écrit « tort que l'on fait à quelqu'un ».
On comprend tout : la nécessité de revenir aux fondamentaux lire-écrire-compter (il en a vraiment besoin), et la politique menée actuellement (tout ce qu'il fait nous porte nécessairement préjudice), la parole qui va plus vite que la pensée (même quand la parole est, comme ici, lente, mais y a-t-il pensée ?) et le contentement de soi, le sentiment que l'on a parfois, en le voyant parler, qu'il ne comprend pas très bien ce qu'il dit (le discours de Dakar, où il donne l'impression à celui qui le regarde qu'il découvre les mots en même temps qu'il les prononce).
La nullité crasse."
http://tf1.lci.fr/infos/media/jt/0,,3715308,00-journal-televise-fevrier-2008-20h-.html
The three Rs, as seen by the French president: he went to visit a class of Year 5 to publicise his revolutionary ideas about education. And to prove his point, he read an entry out of the dictionary: Préjudice (harm, damage) but he read the definition as "tout ce que l'on fait à quelqu'un" (everything we do to others) instead of "tort que l'on fait à quelqu'un" (harm we do to others).
There are two possible explanations : a) he cannot read; b) he can only cause harm to his fellowman.
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1 commentaire:
Ouch! There's nothing like a really good public gaffe to define a politician. We certainly get our fair share of that over here. Or maybe it's more than our fair share!
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