mercredi 20 juillet 2011

I'm on Facebook (ou comment j'ai mangé mon chapeau)


Je vous ferai grâce de la sagesse populaire "Fontaine, je ne boirai pas..." et autres pépites de comptoir. Alors que s'est il passé?
Ce sont surtout les yeux humides de Sarah, le dernier jour de cours, et son petit mot sur la messagerie interne du lycée qui m'ont décidée; elle me demandait de ne pas oublier de m'inscrire sur Facebook, pour qu'on garde le contact.

If that sounds like a lame excuse, considering I could just have kept her personal email, maybe it is. But I think it is my dear friend from Hallett's mountain who got it right "you've finally fallen for it". Months of ignoring the lure, and one day you throw your principles to the wind.

Après deux ou trois jours de fréquentation de ce monstre honni, je me retrouve pourvue de huit amis (dont deux enfants et un amoureux), et à me poser la terrible question à chaque sourire de connaissance que me soumet le Réseau: "dois-je rester clandestine sur cette galère?"

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Bienvenue parmi nous !
Facebook peut-être un excellent outil militant, regarde le printemps arabe ou les Indignés en Espagne.
Et Twitter, c'est pour quand ?
Sur Facebook, je suis Less la taupe.
Sur Twitter, LessTaupe.
Bises, Less, taupe de son état ;-)

christine leroy a dit…

Oui, j'ai fait pareil il y a 6 mois, mais c'était avec une solide raison professionnelle (...).
Et finalement, je regrette tellement peu que j'aurais tendance à militer pour.
Et maintenant je suis sur Twitter (timidement, faut dire), et même sur Google+ (qui a potentiellement beaucoup d'atouts, et qui corrige d'entrée certains points énervants de Facebook).
Alors, sur Facebook, si tu veux être mon amie (hihihihi...) je m'appelle Christine Thiollier, et je m'en vais te pister !
Bises et bienvenue..