Les résultats d'une étude menée par des universitaires anglais me conforte dans l'idée que ces publications dites "presse pour hommes" sont vraiment nocives, surtout quand elles sont le socle de l'éducation sexuelle des jeunes garçons. La frontière entre ce qu'on appelle "porno soft" et les déclarations d'hommes condamnés pour viol est imperceptible pour la majorité des gens, en particulier des hommes. Cela fait froid dans le dos!
Anna van Heeswijk, Campaigns Manager for OBJECT, a human rights campaign group which campaigns against the objectification of women, said: "This crucial and chilling piece of research lays bare the hateful messages which seep out of lads' mags and indoctrinate young men's attitudes towards women and girls. When the content of magazines aimed at teenage boys mirrors the attitudes of convicted rapists, alarm bells must ring.